Qu'est ce qu'un traitement orthopédique?
Un traitement orthopédique est un moyen - chirurgical OU NON chirurgical (chaque fois que possible !) d'aligner et/ou de restaurer os et/ou articulations (dont la colonne, faite d'articulations) afin d'améliorer et leur apparence et surtout leur efficacité à assurer ET mobilité ET "com" (chirurgie orthopédique = chirurgie de la com). Favorisant la mobilité (bouger...), le traitement peut sans nul doute participer à la santé à long terme du coeur, des artères (marche et hypertension) des veines (marche et prévention de la phlébite), du métabolisme en général (marche et équilibre de la glycémie, contrôle du poids et des lombalgies), des articulations portantes et non portantes pour ces dernières en répartissant mieux les forces qui s'exercent dessus et ménageant ainsi directement le dos....
Pourquoi bénéficier d'un traitement orthopédique?
Suite à troubles développement ou accident (trauma), nombre de personnes ont les articulations mal alignées et/ou mal couvertes ou encore instables. Le traitement orthopédique aligne les articulations dans une meilleure position et/ou les stabilise en mouvement. Cela améliore non seulement l'apparence de ces articulations (et des muscles qui les meuvent) mais aussi et surtout, le jeu de ces articulations, tout en rendant leur usage en air comme en eau indolore.
Chez certains patients, avec ou sans antécédent de traumatisme, les os peuvent être très "mal alignés", voire inégaux en longueur par rapport au côté opposé : les articulations de voisinage sont d'autant plus susceptibles d'être endommagées, à la longue, qu'elles sont soumises à une activité physique intense mais, ici, la chirurgie orthopédique permet de réaligner ces articulations et même de corriger des inégalités de longueur, majeures, qui les menacent (plus de 10 cm) surtout en cas de lésions acquises (traumatisme, infection...)
Enfin, à tout âge, mais surtout après 40 ans, l'usure "prématurée" d'une articulation survient en règle sans la moindre désaxation ou traumatisme préalable et le plus souvent (une personne sur 4 après 75 ans) aboutit à la pose de prothèse articulaire volontiers dans ce contexte bilatérale (genoux, hanches).
Chez certains patients, avec ou sans antécédent de traumatisme, les os peuvent être très "mal alignés", voire inégaux en longueur par rapport au côté opposé : les articulations de voisinage sont d'autant plus susceptibles d'être endommagées, à la longue, qu'elles sont soumises à une activité physique intense mais, ici, la chirurgie orthopédique permet de réaligner ces articulations et même de corriger des inégalités de longueur, majeures, qui les menacent (plus de 10 cm) surtout en cas de lésions acquises (traumatisme, infection...)
Enfin, à tout âge, mais surtout après 40 ans, l'usure "prématurée" d'une articulation survient en règle sans la moindre désaxation ou traumatisme préalable et le plus souvent (une personne sur 4 après 75 ans) aboutit à la pose de prothèse articulaire volontiers dans ce contexte bilatérale (genoux, hanches).
A quel âge, bénéficier d'un traitement orthopédique?
Le traitement orthopédique est généralement mené à tout âge, petite et grande enfance, adolescence, comme à l'âge adulte (séquelles d'anomalies de développement ou séquelles de trauma à véhicule à moteur ou chute de lieu élevé : de plus en plus nombreux, même si la mortalité est en plateau et en baisse avec le prix de l'essance).
L'âge importe moins que la qualité des muscles, des vaisseaux et de l'os pour reconstruire. Chez les enfants, il peut aussi être nécessaire d'attendre d'avoir assuré une croissance suffisante pour débuter le traitement chirurgical : ex; fixation de scolioses du petit enfant différée si le traitement orthopédique non chirurgical le permet...
Après fracture, l'os est (trops) souvent devenu temporairement de mauvaise qualité même chez un sujet actif du fait d'immobilisation très prolongée avec interdiction d'appui pendant des semaines et des mois, rarement justifiées, mais favorisés par des suivis non personnalisés.
L'âge importe moins que la qualité des muscles, des vaisseaux et de l'os pour reconstruire. Chez les enfants, il peut aussi être nécessaire d'attendre d'avoir assuré une croissance suffisante pour débuter le traitement chirurgical : ex; fixation de scolioses du petit enfant différée si le traitement orthopédique non chirurgical le permet...
Après fracture, l'os est (trops) souvent devenu temporairement de mauvaise qualité même chez un sujet actif du fait d'immobilisation très prolongée avec interdiction d'appui pendant des semaines et des mois, rarement justifiées, mais favorisés par des suivis non personnalisés.
Comment se déroule le traitement?
Un premier examen consiste à observer les moteurs (muscles striés volontaires alimentant en flux et en fibrinolysine, les veines) et les "roues" (articulations raides ou non), prendre des photos (amplitudes articulaires, fonte musculaire) et volontiers (re)passer des radios - ENFIN ciblées - afin d'évaluer le type de traitement nécessaire.
Puis (ou mieux d'emblée) des conseils de mobilisation active sont expliqués en long et en large. mobilisation ACTIVE essentiellement et qui peut être segmentaire ou globale intéressant le maximum de muscles striés à assouplir, au moins autant qu'à renforcer.
Une bonne coopération entre patient et chirurgien, voire kinés ou mieux médecine de médecine physique (responsable nominal) permet d'envisager sereinement une série chirurgicale pluri-ostéo-articulaire même dans des cas apparemment très complexes et anciens (séquelles de coma traumatique, séquelles de tumeurs métastasés (myélome, sein), opérées, non consolidées, infectées, grabatisation au long cours, réversibles même dans de tels contextes).
Puis (ou mieux d'emblée) des conseils de mobilisation active sont expliqués en long et en large. mobilisation ACTIVE essentiellement et qui peut être segmentaire ou globale intéressant le maximum de muscles striés à assouplir, au moins autant qu'à renforcer.
Une bonne coopération entre patient et chirurgien, voire kinés ou mieux médecine de médecine physique (responsable nominal) permet d'envisager sereinement une série chirurgicale pluri-ostéo-articulaire même dans des cas apparemment très complexes et anciens (séquelles de coma traumatique, séquelles de tumeurs métastasés (myélome, sein), opérées, non consolidées, infectées, grabatisation au long cours, réversibles même dans de tels contextes).
Questionnaires par régions anatomiques ?
- Intéressent hanche, genou (arthrosique), genou (ligament croisé), pied et cheville, épaule, épaule instable, coude, poignet, main, colonne lombaire, colonne cervicale et niveau global de stress
- par le professionnel de santé,
- par le patient.
- sans tarder en ligne pour les... anglophones.