Différents méthodes nos Mozart de l'analgésie combinent au mieux pour vous !
L’anesthésie générale ou AG: zié fémé !
Anesthésie générale pour un panaris : un grand classique...
Cette AG est régulièrement plébiscitée (a posteriori) en cas de REPRISE ou de DEUXIEME côté chez des sujets opérés la première fois "zié ouvé" sous "péri" et/ ou "rachi", mais il 'agirait là souvent de "grands émotifs" qui sont allés LOIN (hexagone, "grandes" cliniques) pour un niveau moyen d'anesthésie (zié ouvé), nievau sans nul doute en moyenne inférieur à celui de notre équipe de "locaux"...Réalisée par inspiration de vapeurs anesthésiques et par injection par voie intraveineuse de produits anesthésiques, L'AG entraîne la perte de la conscience, la perte de la sensibilité et un précieux et modulable relâchement musculaire.
Pendant cette anesthésie, le patient respire pas seul, bénéficiant d’assistance respiratoire, manuelle ou robotisée, via un tube placé par le médecin ou l'infirmier anesthésiste dans la trachée ou dans le larynx et relié au "respirateur".
En cas d'anesthésie brève, la ventilation du patient fait appel en règle à un simple masque.
Enfin (mieux qu'après) d’intervention, le patient élimine progressivement les produits administrés et recouvre la conscience et la faculté de respirer seul, et est extubé, en règle "sur table" par une équipe soudée et aguerrie de longue date.
Pendant cette anesthésie, le patient respire pas seul, bénéficiant d’assistance respiratoire, manuelle ou robotisée, via un tube placé par le médecin ou l'infirmier anesthésiste dans la trachée ou dans le larynx et relié au "respirateur".
En cas d'anesthésie brève, la ventilation du patient fait appel en règle à un simple masque.
Enfin (mieux qu'après) d’intervention, le patient élimine progressivement les produits administrés et recouvre la conscience et la faculté de respirer seul, et est extubé, en règle "sur table" par une équipe soudée et aguerrie de longue date.
L’anesthésie péridurale et la rachianesthésie: zié ouvé ? zié fémé ?
Facile chez une femme jeune accouchée aux tissus souples. Impossible et dangereux en cas de colonne BAMBOU, contrindication AUSSI de l'AG (cou soudé). Reste dans ce cas la très difficile RACHI, laborieuse sur colonne BAMBOU (sauf en L5-S1 bien médian ?)
Réalisée injection de produit anesthésique dans l’espace péridural, la péridurale ne doit pas enfreindre cette méninge dite dure-mère, enveloppe de la moelle épinière, puis "seulement" de la queue de cheval à partir de L2, au risque de diffuser en "sous-dural" ou "intra-théqual".
La rachianesthésie est réalisée, quant à elle, directement injection transdurale de produit anesthésique dans lefourreau dural même au sein du canal rachidien.
Le médecin anesthésiste passe en douceur, son aiguille, entre deux vertèbres lombaires pour atteindre l’espace péridural et/ou en intra-théqual (reflux de liquide céphalorachidien), et seules les racines nerveuses situées sous la zone d’injection sont anesthésiées.
Le patient conscient, peut communiquer avec l’équipe: zié ouvé. "En cas d’émotivité" (la règle), l'anesthésiste injecte, par voie intraveineuse, un calmant permettant au patient de se détendre voire de s’assoupir pendant l’intervention: zié fémé.
Les effets du produit anesthésique ne se dissipent pas si progressivement que cela et le patient retrouvant la sensibilité et la motricité du territoire anesthésié après quelques heures (en fin de journée) en garde parfois volontiers un souvenir mitigé. Toutefois, il faut assez régulièrement avertir le patient de la possibilité assez régulière d'une rétention aigue d'urines "au réveil" : en orthopédie d'implants articulaires, sonde ou cystocath (trop) souvent nécessaires 24 heures (risque bactériémique avéré) selon l'indication
La rachianesthésie est réalisée, quant à elle, directement injection transdurale de produit anesthésique dans lefourreau dural même au sein du canal rachidien.
Le médecin anesthésiste passe en douceur, son aiguille, entre deux vertèbres lombaires pour atteindre l’espace péridural et/ou en intra-théqual (reflux de liquide céphalorachidien), et seules les racines nerveuses situées sous la zone d’injection sont anesthésiées.
Le patient conscient, peut communiquer avec l’équipe: zié ouvé. "En cas d’émotivité" (la règle), l'anesthésiste injecte, par voie intraveineuse, un calmant permettant au patient de se détendre voire de s’assoupir pendant l’intervention: zié fémé.
Les effets du produit anesthésique ne se dissipent pas si progressivement que cela et le patient retrouvant la sensibilité et la motricité du territoire anesthésié après quelques heures (en fin de journée) en garde parfois volontiers un souvenir mitigé. Toutefois, il faut assez régulièrement avertir le patient de la possibilité assez régulière d'une rétention aigue d'urines "au réveil" : en orthopédie d'implants articulaires, sonde ou cystocath (trop) souvent nécessaires 24 heures (risque bactériémique avéré) selon l'indication
L’anesthésie locorégionale par bloc périnerveux
Bloc plexique échoguidé
Le bloc périnerveux est réalisé en injectant un produit anesthésique local à proximité d’un nerf, limitant ainsi l’anesthésie au territoire innervé par ce nerf.
Le médecin anesthésiste repère le nerf à l’aide non pas tant d’un appareil envoyant du courant électrique de faible intensité, qu'à l'échographie (enfant ET adulte) et il place un cathéter au voisinage du nerf ou des nerfs et injecte l’anesthésique local.
Le patient conscient, peut communiquer avec l’équipe. "En cas d’émotivité" (la règle), l'anesthésiste injecte, par voie intraveineuse, un calmant permettant au patient de se détendre voire de s’assoupir pendant l’intervention. Les effets du produit anesthésique ne se dissipent pas si progressivement que cela et le patient retrouvant la sensibilité et la motricité du territoire anesthésié après quelques heures (en fin de journée) en garde parfois volontiers un souvenir mitigé. Pour les interventions "douloureuses" (?), le cathéter pourrait cependant, selon certains, être garder pendant quelques jours (!?) pour permettre de diffuser en continu l’anesthésique local et poursuivre ainsi l’analgésie en postopératoire...
Le médecin anesthésiste repère le nerf à l’aide non pas tant d’un appareil envoyant du courant électrique de faible intensité, qu'à l'échographie (enfant ET adulte) et il place un cathéter au voisinage du nerf ou des nerfs et injecte l’anesthésique local.
Le patient conscient, peut communiquer avec l’équipe. "En cas d’émotivité" (la règle), l'anesthésiste injecte, par voie intraveineuse, un calmant permettant au patient de se détendre voire de s’assoupir pendant l’intervention. Les effets du produit anesthésique ne se dissipent pas si progressivement que cela et le patient retrouvant la sensibilité et la motricité du territoire anesthésié après quelques heures (en fin de journée) en garde parfois volontiers un souvenir mitigé. Pour les interventions "douloureuses" (?), le cathéter pourrait cependant, selon certains, être garder pendant quelques jours (!?) pour permettre de diffuser en continu l’anesthésique local et poursuivre ainsi l’analgésie en postopératoire...
L’anesthésie locale et "feu" ??? l'ALRIV...
Une très bonne méthode avec des hauts et des bas : ex. la cataracte en deux générations passée de l'AG systématique à l'AL ! WHY ?
L’anesthésie locale consiste à injecter un produit anesthésique local dans les tissus pas uniquement sous-cutanés pour endormir une zone certes limitée mais pas si superficielles (sous-aponévrotique, volontiers), elle n'est donc pas réservée aux interventions dont le geste chirurgical est dit « superficiel » (lesquels ?°.Un bon exemple, peu "invasif" est la chirurgie de décompression du nerf médian au canal carpien. En cas de "reprise" d'échec de décompression, le recours à l'AL est souvent très apprécié des sujets n'yant pas tous gardé un souvenir ému des "blocs" périnerveux axillaires... même écho-guidé et a fortiori "électro-stimulé"....